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Saint Gilles site sacré Essai de reconstitution d'un site "sacré"

Des indications spécifiques...

 

Qu'est-ce qu'un jubé dans une église :

Pulpitum est le nom latin du Jubé qui est "tiré" d'une prière latine adressée à l'évêque avant de monter dans la tribune : le jubé donc. Dans les églises du Moyen-âge il y avait un Jubé qui enfermait le chœur et une partie de l'église et qui était réservée aux clercs, aux moines, aux abbés... Cette partie sacrée était, dans sa partie "occidentale", fermée par un mur, une palissade sur laquelle était représentée la vie de Jésus et elle était surmontée d'une ou plusieurs estrades. Les jubés ont été détruits pour la plupart et remplacés par une grille devant le chœur que l'on appelle table de communion.  

Le jubé représente la partie sacrée de l'église, l'endroit où l'on célèbre les rites sacrés, l'Eucharistie notamment. Evolution des jubés/ambon : du voile à la tribune, au mur, à la clôture... Les Orthodoxes ont conservé le Jubé et le décore avec des Icônes.

En principe chaque diacre avait sa tribune de part et d'autre, le sous-diacre lit les épîtres, le diacre lit les évangiles, du haut de la tribune. Et l'Evêque se mettait au centre pour faire les sermons, commenter les écritures, annoncer les manifestations... aux ouailles... et devant le portail du Jubé il n'y avait pas de bancs ou de chaises pour s'asseoir. Il y avait aussi et bien souvent un labyrinthe (Comme à Chartres) autre élément servant à équilibrer/canaliser les énergies pour ceux qui le parcouraient... Je suppose donc qu'il y avait un labyrinthe. Dans l'Eglise haute de St. Gilles il y a une plaque scellée sur le sol indiquant l'emplacement du tombeau du Saint dans l'église basse juste en dessous...

J'ai pris pour référence le magnifique jubé d 'Albi rénové depuis peu et mettant en valeur les Anges placés au-dessus des stalles. (72 et plus, les 72 anges représentent  les noms de Dieu pour le judaïsme ou pour d'autres les 72 hiérarchies divines ou cosmiques ). Sous les sièges des sculptures particulières et attachées à celui à qui appartient le siège (sorte de blason, d'allégorie, de symbole, de signature, etc...). Les stalles ne font pas face au cœur mais sont placés sur le côté (car l'énergie passe au centre, très puissante, elle ne doit pas perturber l'assemblée, elle va ensuite pourquoi pas se répandre dans le labyrinthe – hors du jubé... ). Les stales du haut (proche du mur/des anges) est réservée aux "Initiés", aux dignitaires; placés "entre" terre et ciel, Dieu et les Hommes, prés des anges . Celles du bas, devant, sont pour les impétrants


Qu'est-ce qu'un baptistère, dans une église :

Le Baptistère était une construction indépendante à l'édifice religieux et qui était réservé à l'enseignement des catéchumènes et des baptêmes célébrés principalement aux Solstices. Il y avait au centre une grande cuve...Dans ce bassin on s'immergeait ou pas, on « infusait » plutôt, pour ressortir « lavé », purifié !

Le baptistère, un local (situé entre les deux bâtiments) avec une cuve remplie d'eau ou un bassin. Passage obligé pour la purification par l'eau.

Le baptême était un sacrement important et donné à des périodes précises (Pâques et Pentecôte ou Epiphanie). Il était appelé « illumination ».

 

La Vis de Saint Gilles :

Reste de l'abbatiale prés du chœur détruit oeuvre du Frère Mattéo de Cluny. Visité par les Compagnons mais aussi des architectes. L’escalier desservait les étages pour le service des moines et, traversant les combles, donnait accès au clocher. A l'opposé le même escalier pourraît avoir été construit mais démoli lors de la destruction du grand clocher (comme le choeur), situé à côté, pendant les guerres de religion.

Les détails techniques :

C’est une voûte en berceau rampante, ou voûte annulaire en descente, sur un module de neuf claveaux, qui s’élève en tournant sur elle-même. L’extrados de la voûte supporte les marches. Elle repose à l’extérieur sur les murs cylindriques, au centre sur un noyau vertical « en tambour », formé d’éléments cylindriques portant une « épaule » hélicoïdale qui sert d’appui aux premiers claveaux de la voûte. Les marches de départ reposent sur un massif de maçonnerie, et la voûte commence à partir de la première mi-hauteur de l’escalier. Les marches rayonnantes sont simplement posées sur un blocage réparti sur l’extrados de la voûte, et ne participent pas à la structure de l’escalier.

Il s'agit d'un ouvrage remarquable par la complexité de la stéréotomie, chaque pierre étant taillée selon plusieurs plans concaves et convexes. La visite de la vis de Saint-Gilles était un passage obligé des compagnons tailleurs de pierre, qui au cours des siècles ont laissé des marques de leur passage. Les premiers graffiti laissés par les compagnons remontent à 1643.

Aujourd'hui il sert de référence, le nom « vis de St. Gilles » désigne ce modèle de construction dans l'industrie.

 

 Quelques points historiques sur les premières communautés chrétiennes :

Il s'agissait avant tout d'initiation Chrétienne, d'initiation aux mystères ; car pour les premiers chrétiens on peut parler d'une école initiatique, d'un enseignement fait en plusieurs étapes et où il y avait des degrés de connaissance. Bien souvent il il y avaitune première église pour les catéchumènes, avec le baptistère et ensuite l'église des « reçus » (la partie fermée des églises pour la participation à l'eucharistie, comme les jubés par exemple).

Et les cathédrales, basiliques ou abbatiales des premiers siècles étaient composées de deux bâtiments. Avec au centre le baptistère (sorte de sas, de passage...) Voir à Florence ou Pise les grands baptistères. Donc une première église pour l'enseignement des novices et une deuxième avec le chœur, le jubé... ...Toujours occulté et réservé à ceux qui recevaient et « voyaient » l'eucharistie.

Dans les premiers siècles de l'ére chrétienne il existait une règle appelée « Disciplina Arcani » (ou « discipline de l'arcane ou secret) qui implosait au clergé et à leurs disciples de ne pas révéler – au premier venu – la théologie des sacrements et notamment celui de l'Eucharistie, mais aussi d'autres rites particuliers...

Le baptême était un sacrement important et donné à des périodes précises (Pâques et Pentecôte ou Epiphanie).

A St. Gilles, dans l'église basse, il y a le tombeau de St Gilles (à la place)...

A St. Gilles il y a deux églises, l'une sur l'autre, ce n'est pas une crypte, et ce point bas dans l'église ? Pour le tombeau de St. Gilles ? Je ne pense pas puisqu'il était enterré (à sa mort) au monastère d'Estagel, son monastère, lieu de l'ermitage primitif situé au nord de la ville.

Cette église basse était celle des initiés avec un parcours particulier... 

Charlemagne « supprimera » la pratique des grands baptistères et ordonnera que l'on baptise en masse tout le long de l'année et dès le plus jeune âge. Tout le monde devait être Chrétien rapidement, POLITIQUEMENT, pour bien ancrer la religion chrétienne stabilisant l'empire. Il n'a pas inventé l'école pour tous mais l'école pour les Clercs de l'église Romaine pour qu'ils puissent enseigner le dogme au peuple.

 

Le labyrinthe :

Les labyrinthes d’église sont toujours situés sur des points forts du point de vue tellurique. Il s’agit de lieux connus depuis la nuit des temps en raison d’un taux vibratoire élevé. Il s’avère qu’en ces lieux se croisent souvent plusieurs phénomènes telluriques tels que des lignes telluriques, des courants d’eau souterraine, des failles, des courants électro-telluriques, etc. Les labyrinthes sont généralement de forme circulaire, bien qu’il en existe aussi de forme carrée ou octogonale. A chacune de ces formes est associé un symbolisme particulier. La position du labyrinthe par rapport au reste de l’édifice sacré peut être déterminé par un tracé géométrique faisant appel à diverses notions de géométrie sacrée, comme par exemple, la construction dite des trois tables. L’ensemble du labyrinthe est tracé selon une géométrie précise où la symbolique est capitale. Nous retrouvons parfois dans le tracé le nombre d’or ou d’autres nombres irrationnels. La division en quatre cadrans renvoie à la forme de la croix (croix du Christ ou croix druidique), aux 4 saisons, aux 4 éléments, aux 4 points cardinaux, etc. La symbolique des nombres est omniprésente dans le dessin d’un labyrinthe. Les références sont parfois la Bible, la kabbale hébraïque et même le Tarot. La valeur numérique de certains éléments permet parfois de faire des découvertes surprenantes. (A Chartres, la longueur du parcours est de 888 pieds romains, or 888 est le nombre du Christ en valeur numérique selon le système classique grec. Prenons comme autre exemple le nombre d’anneaux concentriques. Un labyrinthe a, en principe, 11 anneaux, mais certains en ont 10 ou 7.11 anneaux pour le profane, 10 pour le clergé, 7 pour l’initié... 11 = transgression des 10 commandements : 11=10+1

  • signe de l’excès et du conflit

  • la dualité du monde incarné : 11=1+1 (somme théosophique)

  • nombre néfaste de la lutte et de l’opposition

  • symbole de la lutte intérieure et de l’égarement

  • totalité manifestée : 11= 5 (microcosme, Terre)+ 6 (macrocosme, Ciel)

  • 10 = symbole de la totalité selon Pythagore, 10=1(Unité)+2(Dualité)+3(Plans)+4(Eléments)

  • symbole du retour à l’unité, notion de cycle : 10=1 à 9 +1...

7 =

  • les 7 plans de la conscience pour accéder au divin

  • les 7 planètes qui gouvernent notre destinée

  • les 7 degrés de la perfection

  • les 7 jours de la semaine, achèvement d’un cycle

  • les 7 états spirituels qui permettent le passage de la terre au ciel

  • la totalité de l’espace et du temps (6 directions+temps)

  • passage du connu à l’inconnu

  • indique le sens d’un changement après un cycle accompli et un renouvellement positif

En considérant pour chaque labyrinthe, entre autres, les diamètres du cercle intérieur et du cercle intérieur, la longueur du parcours, la circonférence, la largeur du chemin, il s’avère qu’il existe entre toutes ces dimensions, des rapports de proportion géométriques ou arithmétiques qui permet une lecture symbolique fort intéressante. Nous trouvons également toute une symbolique basée selon ces dimensions mesurées selon les unités en vigueur à l’époque : coudées et pieds.

Le labyrinthe doit à la fois permettre l’accès au centre par une sorte de voyage initiatique, et l’interdire à ceux qui ne sont pas qualifiés. Il s’agit donc d’une figuration d’épreuves initiatiques discriminatoires préalables au cheminement vers le centre caché. Le labyrinthe conduit aussi à l’intérieur de soi-même, vers une sorte de sanctuaire intérieur et caché, dans lequel siège le plus mystérieux de la personne humaine. On songe ici au mens, temple du Saint-Esprit dans l’âme en état de grâce, ou encore aux profondeurs de l’inconscient. L’un et l’autre ne peuvent être atteints par la conscience qu’à la suite de longs détours ou d’une intense concentration, jusqu’à cette intuition finale où tout se simplifie par une sorte d’illumination. C’est là, dans cette crypte, que se retrouve l’unité perdue de l’être, qui s’était dispersé dans la multitude des désirs.

Le labyrinthe d’église n’est pas un vrai labyrinthe au sens moderne du terme puisqu’il n’y a qu’un seul chemin possible. Le principe du choix ne se trouve évidemment pas dans la dimension matérielle mais dans la dimension spirituelle. Il n’y a qu’une voie, celle du Christ. Nous suivons tous la même voie dans les pas de nos prédécesseurs. Le non-choix permet de faire taire le cerveau gauche afin d’activer le cerveau droit et le laisser s’exprimer. Les rondeurs du labyrinthe éveillent par résonance notre côté féminin, émotionnel et irrationnel, porte d’accès au sacré. Si le labyrinthe comprend en général de nombreux changements de direction, il est prévu de le parcourir toujours dans le même sens. A l’instar de la vie, une fois que le processus de mort est enclenché, il doit aller à terme. Le labyrinthe est un parcours sinueux avec une alternance pas toujours régulière de virage à 180° à gauche et à droite. Le chemin ne croise jamais la ligne virtuelle menant de l’entrée au centre. Anatomiquement, le labyrinthe ressemble à trois organes du corps humain :

  • oreille interne (cochlée) : centre de l’équilibre

  • cerveau : cheminement de la pensée, pouvoir de concentration

  • intestins : pouvoir vitalisant, siège de la force vitale

A l’extrémité de l’intestin on trouve l’excrément, l’élément le moins noble. A l’extrémité du labyrinthe on trouve l’or, l’élément le plus noble. Du point de vue radiesthésique les deux ont une signature vibratoire similaire. Comme quoi les contraires se rejoignent. Tantôt ce sont les pierres noires qui mènent au centre, tantôt les blanches. Dans tous les cas, le labyrinthe est composé de pierres noires et de pierres blanches exprimant le lieu de la lutte entre le Bien et le Mal. Le chemin "blanc" est le chemin de vérité et d’amour au milieu des ténèbres, conduisant à la lumière Le chemin "noir" est le chemin des ténèbres et des épreuves à endurer avant d’atteindre la lumière. Les premiers pas se dirigent vers le centre, ce qui permet de visualiser le but à atteindre. Mais très tôt il faut se rendre à l’évidence que le chemin ne sera pas direct. Le chemin jusqu’au centre parait court alors qu’il nécessite en réalité un long parcours. Les derniers mètres pour arriver au centre sont systématiquement parallèles et dans la même direction que les premiers mètres. Ceci montre bien qu’il s’agit de la même voie, qu’il y a continuité, mais qu’elle se situe dans un autre plan. Les premiers et les derniers pas ne sont séparés que par un anneau du labyrinthe. Ceci crée une illusion d’optique où l’on a l’impression, en regardant très brièvement le dessin, que le chemin mène directement au centre.

Par rapport au centre du labyrinthe, l’angle de pénétration dans le labyrinthe et l’angle de pénétration dans le centre diffèrent toujours de quelques degrés. Cette différence angulaire signifie que lorsque l’on a effectué un cycle on se retrouve presque au même point, mais avec une petite différence. On peut aussi considérer que l’on alors un autre angle de vision sur notre réalité intérieure, une autre approche, un autre regard sur le monde qui nous entoure. L’arrivée au centre du labyrinthe, comme au terme d’une initiation, introduit dans une loge invisible, que les artistes des labyrinthes ont toujours laissée dans le mystère ou, mieux, que chacun pouvait remplir selon sa propre intuition ou ses affinités personnelles. C’est à l’homme qu’il revient de remplir le centre.

Le centre est avant tout le Principe ; le centre des centres ne peut être que Dieu. Le centre n’est donc point à concevoir, dans la symbolique, comme une position simplement statique. Il est le foyer d’où partent le mouvement de l’un vers le multiple, de l’intérieur vers l’extérieur, du non-manifesté au manifesté, de l’éternel au temporel, tous les processus d’émanation et de divergence, et où se rejoignent, comme en leur principe, tous les processus de retour de convergence dans leur recherche de l’unité. Le centre peut être considéré, dans son rayonnement pour ainsi dire horizontal, comme une image du monde, un microcosme contenant en lui-même toutes les virtualités de l’univers ; et dans son rayonnement vertical, comme un lieu de passage, le cénacle des initiations, la voie entre les niveaux céleste, terrestre, infernal du monde, le seuil de franchissement et, en conséquence, de la rupture. Le centre critique est le point de la plus grande intensité, le lieu de la décision, la ligne de partage.

La notion de retour vers la sortie dépend de notre rapport avec la mort. Dans la tradition égyptienne antique, seul compte le parcours jusqu’au centre. Le voyage de retour n’est pas évoqué. Dans la tradition grecque, en revanche, l’accent est mis sur la capacité à ressortir vivant du labyrinthe. Dans le labyrinthe moyenâgeux, c’est au centre que l’homme effectue son retournement à la fois physique et spirituel. Là, il prend conscience du chemin parcouru et revient sur ses pas dans le monde profane enrichi de son expérience du sacré, prêt à accomplir un nouveau cycle et à affronter la dure réalité.

Placé sur un centre d’énergie cosmo-tellurique, le parcours du labyrinthe permet de se recharger progressivement en énergie vitale. Le labyrinthe est une représentation du parcours que faisaient les druides pour approcher les menhirs à travers leurs enceintes énergétiques. Placé sur un point fort cosmo-tellurique, le labyrinthe agit comme une antenne émettrice qui rééquilibre les énergies locales à l’instar des mégalithes du néolithique et en redistribue les bienfaits aux alentours.

Les labyrinthes gravés sur le sol des églises étaient les substituts du pèlerinage en Terre Sainte. Le croyant qui ne pouvait accomplir le pèlerinage réel parcourait en imagination le labyrinthe jusqu’à ce qu’il arrive au centre, aux lieux saints. Le labyrinthe était parcouru à genoux en récitant des prières ou en chantant des psaumes, en signe de pénitence et pour obtenir la rémission des péchés. La transformation du moi qui s’opère au centre du labyrinthe et qui s’affirmera au grand jour à la fin du voyage de retour, au terme de ce passage des ténèbres à la lumière, marquera la victoire du spirituel sur le matériel, de l’éternel sur le périssable, de l’intelligence sur l’instinct, du savoir sur la violence aveugle.

Le labyrinthe représente le Grand Oeuvre, dont les quatre phases sont représentées par les cadrans. Le labyrinthe, à la manière d’un circuit oscillant, rééquilibre vibratoirement les cellules du corps en rétablissant leurs fréquence d’origine. Cette méthode rétablit un champs vibratoire harmonieux et supprime les dysfonctionnements énergétiques, causes de bon nombre de maladies. En arrivant au centre du labyrinthe le choc vibratoire final permet de libérer des émotions enfouies dans notre for intérieur et ainsi de purifier le corps astral.

Le labyrinthe est un instrument de radionique à émission de forme, grandeur nature, où l’opérateur fait partie intégrante de la machine. Le parcours du labyrinthe lui permet d’augmenter sa concentration et de développer ses pouvoirs psy. Une fois arrivé au centre, il entre en état de conscience modifiée et peut ainsi travailler à distance sans se fatiguer, en puisant directement son énergie dans le flux cosmo-tellurique. L’effet de radionique permet entre autres de guérir à distance, de transmettre des informations (télépathie), et à l’extrême, de téléporter des objets ou des personnes.

 

De par sa symbolique, son emplacement et son rituel de consécration, le labyrinthe est un lieu favorable de communication entre le Ciel, la Terre et les Enfers. Le centre est un point de contact entre les différents plans de la Création. Comme en atteste la tradition orale, les lieux où furent bâtis les labyrinthes étaient déjà des lieux d’apparitions miraculeuses (hiérophanie) et de contact privilégié avec le Divin.

Exemple de labyrinthe - Cathédrale de Chartres

Il est situé à l’axe d’une travée, au milieu de la nef, afin de bénéficier du croisement, en son centre, d’une multitude de lignes telluriques. Au total, le point de force central comprend 6 lignes nickel positives, 6 lignes fer négatives, 2 lignes or positives, 2 lignes cuivre positives, 1 ligne nickel de niveau 3 et le cœur d’une cheminée cosmotellurique positive (260%) à 4 bras. Le dispositif est placé de manière à avoir les phénomènes positifs en croix, dans le sens de la nef et les phénomènes négatifs sur les diagonales.

La proportion - positif / négatif - est en faveur du positif. Le centre est fortement positif, car la cheminée avec ses harmoniques annule l’effet des lignes négatives du réseau fer. Le reste du labyrinthe est également positif, grâce au maillage de 12 lignes positives du réseau fer. Le cheminement dans le labyrinthe est très bien étudié parce que vous êtes obligés de passer plus de temps sur les points positifs, en faisant un tour sur soi-même, dans les virages à 180°. Ainsi, le dispositif énergétique contient une bonne alternance de points négatifs et positifs, avec sensiblement davantage de positif. C’est la condition pour créer un parcours de charge énergétique. S’il y avait eu plus de négatif que de positif, vous auriez eu un parcours de décharge!

Pour étudier l’effet du parcours sur le champ vital, nous avons mesuré une personne à chaque passage sur un point positif ou négatif, soit environ 90 points. Ensuite, j’ai dessiné les variations du champ vital en fonction de la distance parcourue. Ce graphique montre que les premières variations sont assez marquées, mais que le champ vital n’augmente que très peu en moyenne. Après 50 m, le champ vital augmente brusquement jusqu’à 170%, en moyenne. Au-delà de 120 m et presque jusqu’à la fin du parcours, l’augmentation est relativement faible. En arrivant sur les lobes centraux, le champ vital fait un brusque saut à 250% et même à 350%, sur la case centrale.

Finalement, la personne sort du labyrinthe en direction du chœur, en marchant sur les pierres noires. En faisant un tel parcours en « touriste », l’effet de charge atteint la respectable valeur de 260%, puis décroît lentement en une heure. Les 7 lobes centraux (6 pétales et le centre) contiennent des filtres éthériques qui colorent l’aura de la personne selon une gamme basée sur les 7 couleurs de l’arc-en-ciel. Ces couleurs correspondent à nos chakras et ont un effet équilibrant et harmonisant, amplifié par les phénomènes cosmotelluriques. Il est recommandé de parcourir les lobes dans le sens dextrogyre, sans oublier la case centrale. Nous avons fait trois essais de charge énergétique en parcourant le labyrinthe, la première fois en « touriste », la deuxième fois en conscience et en cherchant à capter l’énergie tellurique pour augmenter les différences et finalement en régulant les pas sur le rythme de la respiration et des battements du cœur (1 pas par battement de cœur, 3 pas pour inspirer, 1 pas de rétention et 3 pas d’expiration). Le résultat parle de lui-même.

Source : Stéphane Cardinaux : http://www.geniedulieu.ch/index.php/78-genie-du-lieu/114-labyrinthes

 

 

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